Evolution Evolution

Bonjour à toutes les sorcières, magiciennes, les folles d’aventures intérieures, les assoiffées de vie, les fougueuses, les amazones, les fouteuses de joie, les semeuses d’élans, les éprises d’amour, les rêveuses et plus encore.

 

En cette fin janvier je perçois très nettement les premières prémices du printemps : Les oiseaux au petit matin qui m’invitent à la contemplation, le jour qui persiste à régner plus longtemps, la clarté qui n’est plus vraiment la même et mon être qui s’éveille d’un long hiver … tous ces petits signes presque imperceptibles annonciateurs des prochains bourgeons et bientôt là-bas, un peu plus loin, des vastes prairies blondes aux parfums de blé. Puis un peu plus loin encore, les moissons.

Et pour ce printemps que de nouveautés à l’Observatoire des Arts de l’Etre ! En effet, non seulement il se pare d’un nouveau visuel depuis quelques semaines mais aussi il s’étoffe de nouveaux stages (suivre ce lien) abordant des thèmes chers à mon cœur et en harmonie avec ma propre évolution. Oui il est essentiel pour moi d’accorder mon accompagnement à mes transformations intérieures, de faire bénéficier à toutes celles que j’aurai la joie de rencontrer et d’accompagner mes dernières explorations, mes quêtes, mes chutes, mes joies, mes peines, mes rebondissements, mon indestructible foi en la vie et en l’autre. Car oui, comment pourrais-je parler d’authenticité si moi-même je ne donne pas de façon inconditionnelle tout ce que je suis ; mes tâtonnements mes errances parfois mais aussi mes découvertes et mes émerveillements ?

Je tâtonne assurément ! Je suis sans cesse à la recherche de ce petit plus qui pourrait m’aider à mieux vous accompagner, à mieux vous aider à vous aimer. Car oui je crois profondément que tout est là : S’aimer. Car si je m’aime mieux j’ose davantage, car si je m’aime mieux je ris plus, je joue plus, je me casse la figure avec joie car je fais de cette chute un formidable terrain d’explorations et de jeux ! Je vais plus vers les autres et je crée des liens authentiques, je suis plus en paix avec moi et par conséquent moins révoltée moins en colère après ce monde ; je deviens donc semeuse de paix … et je traverse la vie vivante.

Pour moi le clown sera toujours cette part de nous authentique d’une vulnérabilité incroyablement touchante émouvante et merveilleuse. IL m’est essentiel en cela qu’il me ramène sans cesse à mon petit bout d’humanité fragile et impermanent qu’il est si précieux d’honorer. Il est de moi ce qui me dépasse et qui me met profondément en joie. Il est l’expérience de la vie même.

Et pourtant, comme il est facile de l’ignorer, de ne pas lui laisser sa place, de l’étouffer ; par peur, par oubli, par abnégation, par fidélité à des « autres » (culture, parents, …) ou par je ne sais quoi.

Ce que je vais rechercher à travers mes stages, c’est de t'aider (oui je te tutoie car mon exigence est de t'accompagner personnellement au coeur du groupe) à te reconnecter à ce petit bout de toi qui fait que la vie ne passe pas pour rien. Nous allons principalement travailler sur ta présence, ton être au monde et aussi sur cet imperceptible décalage qui te révèle et qui vient cueillir émouvoir et faire rire le public. Nous allons tacher de te faire recontacter, effleurer, ce lieu où tout est possible, où tu deviens indestructible, où malgré les épreuves seule la joie demeure, où tu parais devant l’autre et l’autre devant toi dans votre vérité nue.  Du vrai rien que du vrai, de l’exagérément vrai, de l’orgasmiquement vrai ! Voilà ce vers quoi nous allons !
 Les propos de mes prochains stages seront : la lenteur, la parole, les entrées et les sorties, j'arrête de m'juger,  la création et la confiance.

Tout est ici !

Et bien-sûr, parce que cela devenait non seulement nécessaire mais essentiel, un nouvel atelier naîtra à la rentrée de septembre 2019. 

N’hésite pas à m’appeler, à m’écrire, à oser les signaux, à m’interpeller dans la rue (même si je n’y suis pas souvent), à me tirer les oreilles ou le nez (!), les doigts de pied si tu préfères ou me faire un clin d’œil. Quoi qu’il en soi, donne-moi de tes nouvelles et si tu le veux bien pense à partager les miennes. 

Je te salue toi l’amie la magicienne la sorcière … et en cet instant la lectrice.

 Chaleureusement et vulnérablement. 

Véronique